Pensionnat Sankara
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Bienvenue à la ville du Pensionnat Sankara ! Nous sommes une communauté d'hybrides et d'humains. Venez donc avec nous et découvrez notre monde où les Hybrides sont Esclaves, les Maîtres Rois et où les Mafieux vous guettent dans l'ombre.
 
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 Clea O'Brayan - Il semblerait que le monde ai changé pendant que je regardais ailleurs. [ E.C. - 15 % ]

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2 participants
AuteurMessage
Clea O'Brayan

Clea O'Brayan


Messages : 1
Date d'inscription : 20/05/2013
Localisation : Devant un écran, semble t-il.

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Clea O'Brayan - Il semblerait que le monde ai changé pendant que je regardais ailleurs. [ E.C. - 15 % ] Empty
MessageSujet: Clea O'Brayan - Il semblerait que le monde ai changé pendant que je regardais ailleurs. [ E.C. - 15 % ]   Clea O'Brayan - Il semblerait que le monde ai changé pendant que je regardais ailleurs. [ E.C. - 15 % ] EmptyLun 20 Mai - 3:29

O'Brayan - Cléa



"Parfois, il faut savoir perdre. Autrement dit : lâche ta manette, O.K ?
"







Personnage

|- Age : 17 ans.
|- Orientation Sexuelle : Homosexuelle.
|- Groupe : Etudiante. - Mais pas que, techniquement. -
|- Alignement (pour les hybrides) :
|- Métier/Classe : Travaille en secret pour la mafia anglaise.
|- Nationalité : Anglaise, métisse anglaise et japonaise.

Joueur
|- Age : Hey hey, j'avais un an de moi l'an dernier ! Et l'année prochaine, j'en aurais un de plus !
|- Comment avez vous découvert ce forum ? : Je m'ennuyais et j'ai déambulé sur les partenaires de Black Rose pour tomber là. °w°
|- Comment le trouvez-vous ? : Sympatoche, avec ces jolis tons bleuuuus. x')
|- Votre activité sur dix : 5 ou 6/10
|- Code :
Spoiler:
|- Un petit mot ? : Envole-toi, citrouille, envole-toi ! x')



"Private Property !" - Physique

8 lignes minimum ! physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique - physique

"This is my Mind" - Caractère

10 lignes minimum ! caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère - caractère

"I was what I was" - Histoire

<< - Clea, ton père te demande.
- Pardon, mère ?, demandais-je en levant légèrement la tête, intriguée, à peine sortie de ma rêverie.
- Ton père, il te demande.
- Mais... Je veux dire... Mère...?
- Ne t'en fais pas, petite Clea, cela semble être tout à fait commun.
- Tellement commun que je ne l'ai jamais vu de ma vie et que tout à coup il m'appelle à ses côtés..., marmonais-je faiblement pour que mère ne m'entende pas.

Les jours, ces derniers temps, devenaient plus qu'intriguant. Tout le monde, à la maison, s'agitait. La bâtisse semblait en elle-même trembler sous les foules de pas qui la fatiguait à chaque instant. Moi, qui avais toujours été habituée à être tranquillement dans ma chambre, seule, face à l'écran de ma console qui était pour moi tout un autre monde, je devais supporter des inconnus qui passaient et repassaient, certains d'entre eux se trompant de salles pour finalement atterrir auprès de moi. Mère me disait, dans ces moments-là, de sauver les apparences, de ne pas paraître étonnée, de simplement indiquer son chemin à l'égaré avant de reprendre mon activité. Mais ce n'était pas aussi simple que cela. Je n'ai jamais été le genre de personne a passer ma vie entière devant ma console, même si je devais bien y passer plusieurs heures dans une même journée, je gardais toujours un contact avec l'extérieur par mes amis et mes camarades de classe. J'étais donc parfaitement au courant de l'agitation qu'il y avait au dehors, de ce monde qui grouillait un peu partout, des problèmes que les "hybrides" que je préférais appeler encore "mutants" en secret, causaient au reste de l'humanité. Je n'avais aucune affection envers eux. Aucune compassion. C'était bien ma nature, en réalité, de sourire de manière compatissante à quelqu'un de mal. Malgré ça, il n'y avait que le sourire, pas la moindre volontiers derrière, pas le moindre sentiment. Je m'étais toujours sentie légèrement différente des autres, à toujours me questionner pour me demander si je pouvais vraiment ressentir de la compassion envers quelqu'un et non plutôt de la pitié. Je devais être une personne étrange, c'était tout. Je me levais de ma chaise, finalement, pour adresser un regard respectueux à mère avant de quitter la salle, sans jamais me retourner, bougeant à reculons comme l'on l'aurait fait avant pour une reine. Dans ma famille, les choses se passaient comme ça. Depuis aussi longtemps que je m'en souvienne. De toutes façons, oui, ma famille était un peu spéciale. Mon père, un homme toujours absent, était un informateur de la mafia anglaise, un type que tout le monde craignait, qui semblait savoir les secrets de chacun, capable de tout balancer sur la table à n'importe quel moment. Ma mère, pour les rumeurs que j'avais entendues et triées sur elle, été la fille d'un yakuza. Elle s'était marier avec mon père quelques années avant ma naissance, ces deux-là s'étant rencontrer au beau milieu d'un voyage d'affaire, s'étant plus. Pourtant, entre eux, il n'y avait vraiment rien de particulier. Cela avait du être une vie pénible, parce qu'ils ne se voyaient jamais, ne dormaient même pas dans le même lit, ni même dans la même pièce. Ils s'évitaient soigneusement. Moi, oui, je fus le fruit du pseudo amour de ces deux êtres unis par le lien sacré du mariage, que je les soupçonnais l'un et l'autre de n'absolument pas respecter. Que voulez-vous, être tout seul, pour eux, cela devait leur creuser les sentiments. Hum, si seulement chez eux ça n'avait pas creuser que les sentiments et non pas les organes reproducteurs. Le couloir s'offrit à moi, long, remplit. De grands hommes, vêtus de noir, gardaient chacune des portes. Certaines personnes se seraient senties mal à l'aise, avec ces têtes qui nous suivait du regard, ces yeux que l'on ne voyaient pas derrière ces lunettes noires et qui se figeaient sur notre dos. Moi, non, encore une fois, j'avais l'habitude. Cela ne faisait que quelques mois que j'étais à cette maison, mais j'avais l'habitude déjà. Avant cela, j'avais vécu avec mère, dans un appartement très petit, dans une espèce de faubourg reculé, un endroit où si l'on se perdait c'était parce que l'on avait fermer les yeux sur la route. Pourquoi j'avais changé d'habitat ? Posez la question à père et mère. J'en sais fichtrement rien, moi. On m'avait faite changer d'appartement, mais pas que ! On avait aussi voulu me faire changer d'école. Coup de chance pour moi que ce soit les grandes vacances. J'avais deux mois devant moi pour me détendre. Faux. Parce qu'à tout, père venait de me demander. Si seulement j'avais su ce qui m'attendait derrière la porte devant laquelle je venais de me poser, j'aurais fais demi-tour, j'aurais couru à m'en faire saigner les pieds, et j'aurais encore continuer, avec une sorte de désespoir, pour aller m'abriter chez une amie, cacher au fond d'un placard, dans le noir le plus total en espérant qu'ils ne me retrouvent pas. Oui, j'allais souffrir. Plus que jamais. Tout ce que je connaissais aller disparaître, et ce pour de bon. Faire marche arrière ? Je n'y pensais pas, à ce moment-là, stupide comme j'étais, à penser que j'allais pour la première fois de ma vie rencontrer mon père. Ce coeur qui battait à tout rompre dans ma poitrine, maintenant, oui, j'aurais préféré que cela ne soit de panique plutôt que de joie. Maintenant, en effet, les regrets m'assaillent, c'est vrai. Mais vous n'êtes pas là pour apprendre ça. Vous voulez le reste, savoir ce qui m'attend. Soit, je vais vous le dire, même si j'en ai à nouveau une boule à l'estomac. [ En cours. ]


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Keisuke Nakamura

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MessageSujet: Re: Clea O'Brayan - Il semblerait que le monde ai changé pendant que je regardais ailleurs. [ E.C. - 15 % ]   Clea O'Brayan - Il semblerait que le monde ai changé pendant que je regardais ailleurs. [ E.C. - 15 % ] EmptyLun 20 Mai - 9:38

Oohhh ! Bienvenue Clea !
(t'es qui sur black rose ? -ici mymy-)
Alors, je valide ton code, j'adore ton avatar et ta signa et voilàààà ! o/
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Clea O'Brayan - Il semblerait que le monde ai changé pendant que je regardais ailleurs. [ E.C. - 15 % ]
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